Naissance, le 3 août, à Porrentruy, de Jean-François Comment, fils de James Comment (notaire) et de Marguerite Dietlin. Il passe son enfance et sa jeunesse dans la maison familiale, rue du Temple. Si sa mère se montre plus sensible à ses aspirations artistiques, le père a des conceptions concrètes et ne souscrit que modérément à la vocation de son fils.
« Déjà comme adolescent, vers 12 ou 13 ans, la peinture m’intéressait, sans savoir ce que c’était. Je copiais des reproductions de l’Illustration, le grand journal français de l’avant‐guerre, où il n’y avait que des peintres académiques, sans aucun intérêt artistique. Mais enfin, c’était une image, je copiais ces choses‐là. Je n’avais aucune notion de l’art. Mais le désir s’est vite précisé. J’ai arrêté de copier les illustrations. Il y avait un peintre local, à Porrentruy, qui s’appelait Willy Nicolet. J’ai pris des leçons particulières chez lui, durant trois ou quatre ans, environ une fois par semaine, je travaillais sur le terrain et dans son atelier.
Un autre événement a été déterminant. Je suis tombé gravement malade, une sinusite aiguë qui s’était portée sur le cerveau, on me pensait perdu. J’ai été hospitalisé plus de trois mois à Berne. Et j’ai l’impression que ce long séjour couché a accéléré un mûrissement, par rapport aux autres adolescents. Je me suis trouvé seul avec moi‐même. Et une vérité s’est imposée : ma vie n’aurait de sens que si elle était consacrée entièrement à l’art. » (Jean-François Comment, éd. Adam Biro, 2000, p. 129)
La peinture est déjà au centre des intérêts du jeune homme encore lycéen. Un de ses tableaux, « L’Allaine », est exposé au IIIe Salon jurassien de Tramelan. "Parmi les plus talentueux élèves, citons ce Jean-François Comment, au style déjà naissant dans une Vue du Pont d’Able - le plus jeune exposant du stand avec ses seize ans", peut-on lire dans Le Pays du 30 septembre 1936.
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La vocation est déjà bien affirmée, le jeune artiste a installé un atelier dans les combles de la maison familiale, rue du Temple. Un artiste bruntrutain, Willi Nicolet, le peint au travail, et lui dédicace ce petit tableau à l’occasion de Noël 1937 avec cette formule : « À mon cher Jean-François Comment, L’air d’atelier vaut mieux que celui de la scène ! » Preuve que le jeune homme hésitait encore entre la peinture et le théâtre. Dix de ses tableaux figurent dans une exposition des peintres de l’Ajoie à Porrentruy.
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Baccalauréat au Lycée cantonal de Porrentruy. En récompense, il obtient de ses parents qu’ils lui installent un atelier dans les combles de la maison (son frère avait, avant lui, été gratifié d’un voyage en Belgique).
À l’automne, il entre aux Beaux-Arts de Bâle (Kunstgewerbeschule), pour répondre à l’exigence de ses parents de se former à un métier : celui de maître de dessin, qu’il n’exercera jamais. Parmi ses professeurs, on mentionnera Arnold Fiechter, qui lui laissera une durable impression, et surtout Georg Schmidt, directeur du Musée de Bâle par la suite, qui suivra avec un intérêt constant l’évolution de son oeuvre et lui apportera son soutien.
En juillet, il entre à l’école de recrues de l’armée suisse en tant qu’observateur d’artillerie. Puis c’est la Mobilisation, avec notamment une période au Lac Noir.
Obtention du diplôme de professeur de dessin et d’histoire de l’art de la Kunstgewerbeschule de Bâle. Séjour de quelques mois à Genève, rue des Chaudronniers.
De retour à Porrentruy, il s’installe dans son petit atelier provisoire des combles de la maison familiale, rue du Temple.
« J’ai passé mon diplôme en 1943. Sans perdre d’année, je crois. J’ai alors demandé à mon père de me permettre de rester six mois de plus, pour ne faire que de la peinture.
Je pouvais choisir les cours que je voulais. J’ai eu Bodmer, le grand peintre, comme professeur. Il était un des maîtres de l’abstraction suisse, mais n’admettait pas qu’on parle de ça pendant ses cours. Pour lui, l’abstraction ne s’enseignait pas, ça venait après. »
Lors d’une fête à Porrentruy, il rencontre Jeanne Deubel, sa future épouse.
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Liberté à Bâle, puis Genève, et retour à Porrentruy, 6.59mn
Tout à gauche, l’air rêveur, Jean-François Comment, sur le quai de la gare de Porrentruy, en 1944. Attend-il quelqu’un ?
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Refus d’enseigner, être pauvre à Porrentruy, 7.28mn
Installe son atelier au dernier étage d’une usine désaffectée, à Belle-Croix, vers la sortie ouest de Porrentruy.
Participe à l’Exposition de Noël du Kunstverein, à la Kunsthalle de Bâle (il y exposera régulièrement jusqu’en 1978).
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Expose à la galerie Wehrli, Delémont.
Participe à l’Exposition nationale suisse, Musée d’Art et d’Histoire, à Genève.
Expose (avec Max Kämpf) à la galerie Wehrli, à Delémont.
Participe à l’exposition du Centenaire de la Société Jurassienne d’Emulation à Porrentruy (photo).
Création du Kreis 48, avec Max Kämpf, Hans Weidmann et quelques autres peintres bâlois. Séjour à Paris, avec ses amis peintres et Ernst Beyeler, le galeriste alors débutant et futur grand collectionneur.
Première petite exposition du Kreis 48 dans la galerie d’Ernst Beyeler.
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Kreis 48, 8.46mn
Tentation de Paris, goût de l’Ajoie, 5.06 mn
Première exposition personnelle à Porrentruy (hôtel de ville).
Exposition collective « Kaba », à Thoune.
En septembre, il épouse Jeanne Deubel, avec qui il part en voyage, avec le train 3ème classe, à Marseille, Arles, dans le Roussillon, sur la côte basque et à Bordeaux ; il fait de nombreux dessins et des aquarelles sur place, dont il tirera ensuite plusieurs motifs et idées de tableaux.
Exposition du Kreis 48 à la Kunsthalle de Bâle. Jean-François Comment y définit son travail en ces termes : « Recherches d’un art basé sur l’humain et l’expressif davantage que sur l’esthétique ; d’un art qui serait doté d’une certaine agressivité même dans les essais les plus décoratifs. » Cette même année, il participe avec Marcel Joray et Pierre-Olivier Walzer à la création de l’Institut jurassien des Sciences, des Arts et des Lettres.
Période de critique sociale. Les Putains.
Exposition du « Kreis 48 » à la St. Albansaal à Bâle (de même qu’en 1952, 53 et 54).
Expose à la Guilde du Livre, à Lausanne.
Exposition nationale suisse, Kunstmuseum, Berne.
À l’initiative de son ancien condisciple Alphonse Widmer, alors enseignant à Thoune et futur recteur du Gymnase de Porrentruy, un système astucieux est mis en place pour assurer à Jean-François Comment un revenu minimal régulier : des amateurs verseront des mensualités qui déboucheront sur des bons d’achat de tableaux ou autres oeuvres, avec une réduction significative (voir document ci-dessous).
Ce dispositif soutenu avec beaucoup d’énergie et d’enthousiasme par Alphonse Widmer se prolongera jusqu’au début des années soixante, et permettra au peintre de traverser la période la plus difficile de la carrière d’un peintre, celle de l’affirmation et de la reconnaissance.
Réalisation d’une fresque, sur le thème de l’eau, pour l’entreprise SEHA, à « « Courtemaîche » ».
« J’avais fait la connaissance à Bâle de jeunes peintres avec lesquels j’avais beaucoup de contacts vraiment fructueux, amicaux. Max Kämpf par exemple. C’était un type très doué, il était déjà la vedette. Il avait un métier, peintre en bâtiment, et avait obtenu des bourses pour se former. C’est lui qui m’a appris à peindre à la fresque, j’avais eu une commande, il m’avait dit « je te montre ». Je me souviens, quand il venait me rendre visite. Au moment de reprendre le train pour Bâle, il entrait par la fenêtre, regardait l’heure, voyait qu’il avait encore deux ou trois minutes, ressortait et rentrait par une autre fenêtre. Il fallait qu’il fasse son théâtre. » (in Jean‐FrançoisComment, éd. Adam Biro, p.130
Expose à Reconvilier (au Foyer).
Exposition collective (« Six artistes jurassiens ») à Bienne et à la Kunsthalle de Berne.
Lauréat du Prix de la Commission fédérale des Beaux-Arts.
Pratique avec enthousiasme et fougue la technique du monotype, avec des thèmes comme les poissons dans la poêle, ou les nus féminins.
En septembre, voyage en Provence, notamment aux Saintes-Maries-de-la-Mer qui lui inspirent plusieurs oeuvres.
Dans une évolution assez rapide, il renonce progressivement à la perspective pour s’engager dans des compositions sur un plan (marchandes de poisson, ports de pêche, cirque).
Lauréat de la bourse Kiefer-Hablitzel. Exposition au Kunstmuseum de Bâle.
Expose (avec Lermite) au Manège à Saint-Imier.
Exposition « Artistes jurassiens », Château de Delémont.
Participe à l’Exposition de Noël de la Société des Beaux-Arts, à Bienne (il y exposera régulièrement jusqu’en 1978).
Voyage aux Lecques et à La Ciotat.
Naissance de son premier fils, Gérard, le 21 mai (un tableau, presque le seul à porter une date précise, est signé ce jour-là).
Exposition collective « Peintres jurassiens » à Genève au Musée de l’Athénée.
Exposition collective « Artistes bâlois », Musée d’Art, à Coire.
Il peint une série de « Vues de l’atelier », toujours la même mais dans des traitements différenciés, inaugurant une pratique importante dans sa démarche : la série, d’abord thématique, puis liée à une couleur dans laquelle il s’installe parfois pour plusieurs mois, voire quelques années.
Parution de la monographie Jean-François Comment, éd. du Griffon, La Neuveville, coll. L’art suisse contemporain, texte de Marcel Joray, 8 planches couleurs.
Abondante série de monotypes en couleurs sur le thème du cirque.
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Rétrospective à la galerie Beyeler, Bâle.
Kunsthalle de Bâle, « Kreis 48 ».
Exposition collective « Jeunes artistes suisses », Kunstverein, Olten.
Exposition « Artistes jurassiens », Caveau des 4-z-Arts, à Lausanne.
Exposition « Le monde du pétrole », à Londres (puis en 1957 à Paris, galerie Bernheim, et à Zurich et à Bruxelles).
Série des « Femmes ».
Série des « Tables noires ».
Lauréat de la Bourse fédérale des Beaux-Arts, Kunstmuseum de Berne.
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Modèles de l’abstraction, école de Paris, les Américains, 2.44mn
Réalisation d’une fresque dans le réfectoire de l’usine Shell S.A. à Birsfelden.
Finit les cartons pour les vitraux de la chapelle de l’hôpital de Porrentruy, auxquels il pensait déjà en 1955.
Expose au « Salon des jeunes », Musée des Beaux-Arts, Lausanne (« Six peintres jurassiens).
Exposition « Six peintres jurassiens », Ancien Hôpital, à Porrentruy.
Exposition « Artistes jurassiens », galerie Palette, à Zurich.
Découvre, à la Kunsthalle de Bâle, les peintres américains du moment, Pollock,
Rothko, De Kooning, Still, exposés par Arnold Rüdlinger.
Lauréat de la Bourse fédérale des Beaux-Arts, Kunstmuseum de Berne.
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Passage progressif au non-figuratif, selon des compositions d’abord assez géométriques, puis de plus en plus libres, jusqu’à l’explosion du début des années 1960.
Ses principales sources d’inspiration sont alors la forêt et l’eau.
Réalisation de vitraux à la chapelle de l’hôpital de Porrentruy (en dalle de verre), auxquels il travaillait depuis 1955 et qui ont accompagné son passage à la non-figuration.
Ces vitraux seront achevés en 1959.
Exposition « Aquarelles suisses », galerie Beyeler, à Bâle.
Exposition « L’art abstrait en Suisse », Musée des Beaux-‐Arts de Neuchâtel (qui voyagera ensuite à Schaffhouse et Berlin, en 1958). Voyage en Italie (Venise, Ravenne).
Expose à La Neuveville (Progymnase).
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition d’automne au Musée des Beaux-Arts de La Chaux-de-Fonds.
Exposition « Gravures et aquarelles d’artistes jurassiens », à Moutier.
Exposition « Artistes romands », Musée d’Art et d’Histoire, à Genève.
Réalisation d’une mosaïque au Centre sportif du Banné à Porrentruy.
XIe Premio Lissone (Italie).
Exposition collective « Artistes romands », galerie Walcheturm, à Zurich.
Exposition « Artistes abstraits romands », Le Sentier.
Exposition « Artistes abstraits », galerie La Citadelle, Ascona.
Naissance de son second fils, Bernard, le 20 avril.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition collective « Art sacré en Suisse », à Zofingue.
Exposition « Wohnen heute », Kunstmuseum, à Lucerne.
Prix suisse de l’art abstrait à Lausanne (galerie Kasper).
Exposition rétrospective au Club Jurassien des Arts, à Moutier, du 30 mars au 16 avril, avec un catalogue, texte de Robert Th. Stoll, 8 reproductions noir/blanc et 7 en couleurs.
Représente la Suisse au Festival International de Leucade (Grèce).
Exposition « Aquarelles et gravures suisses », galerie Lutz & Meier, Stuttgart.
Voyage en Italie (Bologne, Ravenne, Florence, etc.)
Réalisation d’une fresque murale au Lycée cantonal de Porrentruy.
Expose à la galerie Socrate à Bienne.
Expose à Porrentruy (Tour de l’Allaine).
Voyage en Sicile, en Calabre et dans les Pouilles.
Expose au musée de l’Athénée, à Genève.
Biennale de Tokyo (et dans neuf autres villes du Japon).
XIVe Exposition d’art contemporain de Torre-Pellice (Italie).
Exposition du Kreis 48 à la Kunsthalle de Bâle.
Publication de la plaquette Six peintres jurassiens (Coghuf, Comment, Giauque, Holy, Lachat, Schnyder), avec un texte de Jean-Pierre Monnier sur Jean-François Comment, éd. Société Jurassienne d’Emulation.
En avril, voyage en Espagne et sur la côte basque.
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Expose à la Galerie 54, à Saint‐Imier.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Expose à la galerie Zum Gelben Hahn, à Saint-‐Gall.
Exposition nationale de Lausanne (« Ecole bâloise »).
Exposition collective « Situations romandes 1964 », à Neuchâtel.
Exposition collective « Artistes suisses », Kunstverein, Olten.
Participation à « Artisti nella Piazza » à Lugano (ainsi qu’en 1965 et 1970).
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Déménagement dans la maison nouvellement construite par l’architecte Roland Studer (de La Chaux-de-Fonds), rue de la Molière, à Porrentruy, à la lisière sud-est de la ville, au milieu des pâturages et en dessous de la forêt de la Perche : habitation familiale de plain-pied, et grand cube en étage pour l’atelier avec ses grandes baies vitrées orientées vers le nord-est.
Exposition collective « Quatre peintres romands », au Thunerhof, à Thoune.
Exposition du Kreis 48 au Club des Arts, à Moutier.
Exposition du Centenaire de la Coopérative suisse, à Bâle.
Vitraux à l’église paroissiale de Courgenay, dont la deuxième tranche (les petits
vitraux latéraux) sera réalisée deux ans plus tard, en 1967.
Publication de 4 linogravures pour illustrer La vie lente, recueil de poèmes de Hugues Richard, éd. de la Prévôté, Moutier.
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Nouvel atelier, 1.11mn
Exposition collective « Quatre Jurassiens » (avec Coghuf, Lachat et Bregnard) , à Saint-Imier, Bâle et Porrentruy (Groupe scolaire Auguste-Cuenin).
Exposition « Sélection 66 », Galerie de la Ville, à Bienne.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition collective au Kunstmuseum de Berne (lauréat de la bourse cantonale)
Expose à la galerie du Manoir, à La Chaux-de-Fonds.
Expose à la Galerie 54, à Saint-Imier.
Exposition collective « Chefs-d’oeuvres dans les collections privées du Jura », Quinzaine culturelle, Moutier.
Exposition « Vitraux du Jura », galerie Bovée, à Delémont.
Exposition « L’art abstrait dans l’industrie », à Cortaillod.
Expose à la galerie de l’Université, à Paris.
Expose à la galerie Aare-Quai, à Thoune.
Expose à la galerie Paul Bovée, à Delémont.
Exposition collective « Expressions 69 », à Bayonne.
Participe à l’Exposition internationale d’Art graphique, à Milan.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Publication de La Liberté, port-folio tiré à cent exemplaires avec six lithographies de Jean-François Comment comportant des poèmes d’Alexandre Voisard (l’intégralité du tirage est vendue par souscription en un temps record).
Exposition itinérante « A Group of 8 Swiss Artists » (Etats‐Unis, 1970‐71), organisée par le musée de Berne.
L’exposition Art 1/70, à Bâle (où il exposera presque chaque année par la suite).
Expose à la Galerie d’Art, à La Neuveville.
Expose au Musée des Beaux-Arts, à Moutier.
Exposition Art 2/71, à Bâle.
Exposition « Panorama de la peinture romande », au château de Champitet.
La Télévision Suisse Romande lui consacre un « Portrait d’artiste » de 30’ réalisé par Jean-Louis Roy avec des entretiens menés par Pierre Gisling.
Exposition Art 3/72, à Bâle.
Exposition « L’Aquarelle en Suisse », Le Manoir, à Martigny.
Début de la période « symétrique ».
Expose à la galerie Aare-Quai, à Thoune.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Expose à la Galerie 58, à Berne.
Exposition Art 4/73, à Bâle.
2e Salon de Mai, à Berne.
Lauréat du Prix Schwar du Salon de Mai à Berne.
Exposition « Artistes jurassiens », Salon blanc, Kunstmuseum, à Berne.
« Peintres et sculpteurs suisses contemporains » (Pologne, Autriche, Hongrie, Roumanie, 1973‐74).
Exposition « Art et littérature du Jura », galerie Ida Niggli, à Saint‐Gall.
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Grande rétrospective à l’Abbatiale de Bellelay.
Tristan Solier, Jean‐François Comment, catalogue, Abbaye de Bellelay, 1974. Exposition Art 5/74, à Bâle.
Mosaïque pour une propriété privée à Porrentruy (M. Keller).
Peinture murale à l’Ecole secondaire Cuenin, à Porrentruy.
Vitraux à la chapelle des Soeurs de l’hôpital de Porrentruy.
Premier Prix du 3e Salon de Mai, à Berne.
« Graveurs suisses romands » (Kiev, Ukraine).
Exposition d’été, à Charmoille (ainsi qu’en 1979).
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition « Anerkennung gestern und heute », Salon blanc, Kunstmuseum, à Berne.
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Expose à la galerie du Pré-Carré, à Porrentruy.
Expose à la galerie Le Caveau, à Saint-Ursanne.
Exposition « L’eau et les rêves », Le Grand Cachot-de-Vent.
Exposition Art 8/77, à Bâle.
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Rétrospective au musée « Zur Allerheiligen », Schaffhouse.
Robert Th. Stoll, Der Maler J.‐F. Comment, catalogue, Musée Allerheiligen, Schaffhouse, 1978.
Exposition « Peintres du canton du Jura », Forum de l’Hôtel de Ville, à Lausanne.
Exposition « Thoune reçoit le Jura », Kunstmuseum, à Thoune.
Exposition internationale pour « Enfants du monde », à Verbier (ainsi qu’en 1980).
Exposition de Jubilé du Kreis 48, galerie Atrium, à Bâle.
Exposition "Six artistes jurassiens", UBS, à Genève.
Exposition itinérante « Schweizerkünstler für eine sichere Zukunft », à Schaffhouse, Bâle, Berne et Zurich.
Expose à la galerie Plantahaus, à Malans.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition « Gravures d’artistes jurassiens », Caves du Ring, à Bienne.
Exposition « Artistes jurassiens », Le Manoir, à Martigny.
Exposition « Sept artistes jurassiens », galerie 2016, à Hauterive.
Expose à la galerie Aare-Quai, à Thoune.
Expose à la galerie Couvaloup, à Morges.
Voyage au Kenya (dessins, aquarelles, petits tableaux).
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Rétrospective au musée jurassien des Beaux-‐Arts, Moutier.
Rétrospective à la galerie Zahno, à Moutier.
Exposition à la galerie du Tilleul, à Perrefitte.
Réalisation de vitraux à l’église catholique de Malleray, qui seront achevés en 1982.
Exposition « L’art du Jura », à Wattwil.
Exposition « 25 ans de la galerie », galerie Riehentor, à Bâle.
Exposition « Collection des Assurances La Nationale », Augustinermuseum, à Fribourg-en-Brisgau.
Réalisation finale et pose des vitraux de l’église catholique de Malleray.
Réalisation de vitraux à la chapelle du home pour personnes âgées de Saint-Ursanne.
Expose à la galerie Bräureikeller, à Laufon.
Expose à la galerie des Platanes, à Genève..
Expose à la galerie Aare-Quai, à Thoune
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
Expose à la Banque cantonale du Jura, à Porrentruy.
Exposition « Vier Künstler aus dem Jura », à Zofingue.
Rétrospective à Liestal (Gymnase Bodenacker).
Expose à la galerie Au Virage, à Séprais.
Réalisation de deux vitraux à l’église Saint-Pierre de Porrentruy.
Lauréat du Prix des Arts, Lettres et Sciences de la République et Canton du Jura.
Tristan Solier, « Jean-‐François Comment, l’homme de l’aube », et Alexandre Voisard, « Parcours », Jura Pluriel n° 9, éd. Pro Jura, Moutier, 1986.
Exposition du Kreis 48, galerie Atrium, à Bâle.
Exposition « L’aquarelle suisse », galerie Zur Matze, à Brigue.
Exposition « Les 30 ans de la galerie », galerie Riehentor, à Bâle.
Expose à la galerie du Château, à Avenches.
Expose à la galerie Aare-‐Quai, à Thoune. François Mertenat, Jean-François Comment, Marcel Joray, Jean-Pierre Monnier, Tristan Solier, Alexandre Voisard, Pierre-Olivier Walzer, Jean‐François Comment, lauréat du Jura, République et Canton du Jura, Delémont, 1987.
Rétrospective au cloître et à la galerie du Caveau à Saint-Ursanne. Françoise Jaunin, Jean-François Comment ou la quête de la lumière, éd. Société Jurassienne d’Emulation, coll. « L’art en oeuvre », Porrentruy, 1988 (avec une biographie établir par Germain Adatte et un texte de Bernard Comment).
Réalise vingt-trois vitraux pour l’église catholique de Münchenstein.
Réalise divers vitraux individuels.
Expose à la galerie Riehentor, à Bâle.
« Paintings and sculptures fromSwitzerland » (Hong-‐Kong).
“Sept peintres jurassiens”, Crédit Général, Bruxelles.
Expose à la galerie Spectrum, à Interlaken.
Réalise un vitrail, « Jura », pour la République et Canton du Jura (20 exemplaires).
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Expose au château d’Avenches.
Exposition thématique « Magic blue », galerie Beyeler, à Bâle, décembre 1993-mars 1994.
Expose à la galerie Jonas, à Cortaillod.
Exposition rétrospective au Centre Culturel Suisse de Paris
Expose à la galerie du Soleil, à Saignelégier.
Expose au Centre culturel de Saint-Imier.
Réalise cinq vitraux pour le temple Saint-Gervais, à Genève.
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Expose à la galerie Jonas, à Cortaillod.
Recherches de formes pour un grand tableau bleu (demeuré inachevé) en procédant à des collages provisoires.
Rétrospective « Jean-‐François Comment, 40 ans de peinture » à la galerie Le Manoir, à Martigny, du 28 juin au 6 septembre. Expose au château d’Avenches.
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Trois expositions pour fêter ses 80 ans. La période figurative est exposée à la galerie Courant d’Art à Chevenez. Le passage à la non-figuration et à l’abstraction lyrique est l’objet d’une rétrospective au Musée de Moutier. Enfin, les oeuvres plus récentes sont accrochées au Musée de Porrentruy.
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Réalisation d’un vitrail dans le home pour personnes âgées de Boncourt. Parution de la monographie Jean-François Comment, éd. Adam Biro, Paris, avec des textes de Robert Th. Stoll, Alexandre Voisard, et un entretien de l’artiste avec son fils, Bernard Comment. Une édition de tête comprenait 30 exemplaires avec une aquarelle originale et 100 exemplaires avec une sérigraphie. Réalise un vitrail pour la Fondation « Les Colombes », à Boncourt.
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Souffrant d’insoutenables douleurs au dos, Jean-François Comment est hospitalisé en juillet. Au bout d’un mois, son état se dégrade brusquement, et les soins intensifs ne pourront éviter l’issue fatale. Il décède le 4 septembre 2002 au matin.
Œuvres exposées au musée du Locle (autour de Lermite), automne 2002.
Œuvres exposées à la Fondation Saner, à Studen (collection Bloch, Courtelary), automne 2002.
Rétrospective 1974-2002, abbatiale de Bellelay, été 2003.
Aquarelles, galerie Jonas, 2004.
Espace Courant d’Art, à Chevenez, 2004.
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