Au début des années 1990, Jean-François Comment s’intéresse à un nouveau produit, l’acrylique, qu’il utilise aussi bien sur toile que sur papier, en particulier en 1992.
L’ensemble de cette production relativement circonscrite dans le temps offre un jeu de blanc et de divers bleus, dont certains très vifs, avec des touches ponctuelles de vert, de rouge, de noir.